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Child Survival XIII Final Evaluation Report
The goal of the CS XIII project has been to improve the maternal and child health among 50,000 women... Read More...
Informe Final del Proyecto “Combatiendo la Anemia en el Centro Poblado de Cieneguillo Centro en Sullana II”
CBC PERUANA S.A.C, en el marco de su contribución para el Desarrollo Social del país, ha promovido y financiado el proyecto Combatiendo la Anemia en el Centro Poblado de Cieneguillo Centro en Sullana como parte de su programa de responsabilidad social. El Proyecto aportó a la mejora de las condiciones de vida de las poblaciones del área de influencia de la empresa. La finalidad del proyecto fue, a través de diversas acciones, contribuir a mejorar el estado de salud general de los niños menores de 36 meses en la Región Piura. Por encargo de CBC, CARE Perú es la Institución responsable de la ejecución de la cuarta fase del proyecto, en el período de 2019 a diciembre 2019.
Para el 2019, el objetivo de CBC de la mano de CARE Perú, se orientó a lograr la sostenibilidad de todas las acciones desarrolladas en la fase previa del Proyecto (2018), de manera que las estrategias sean efectivamente apropiadas por las autoridades locales y regionales, especialmente en el marco del cambio de gobierno. Por ello, la incidencia política en los nuevos representantes.
El segundo documento es el PROCESAMIENTO Y ANÁLISIS DE INFORMACIÓN SOBRE ANEMIA.
This is a summary on anemia indicators in Cieneguillo village. This report shows the statistical processing of indicators, the tests applied to validate the information such as: T-student test, Wilcoxon, Chi-squared and Anova. Read More...
Para el 2019, el objetivo de CBC de la mano de CARE Perú, se orientó a lograr la sostenibilidad de todas las acciones desarrolladas en la fase previa del Proyecto (2018), de manera que las estrategias sean efectivamente apropiadas por las autoridades locales y regionales, especialmente en el marco del cambio de gobierno. Por ello, la incidencia política en los nuevos representantes.
El segundo documento es el PROCESAMIENTO Y ANÁLISIS DE INFORMACIÓN SOBRE ANEMIA.
This is a summary on anemia indicators in Cieneguillo village. This report shows the statistical processing of indicators, the tests applied to validate the information such as: T-student test, Wilcoxon, Chi-squared and Anova. Read More...
Synthese Analyse Rapide Genre – Est du Cameroun
La crise en RCA et l’afflux de refugies n’a pas changé les rôles et relations ci-dessus. Les seuls changements positif relevé est l’existence de plus de main d’œuvre pour le travail de la terre. Par contre tous les groupes consultes ont noté plusieurs impacts négatifs qui alimentent des tensions perceptibles entre les refugies et leurs communautés hôtes parmi lesquels:
- Accès aux soins de santé : les refugies sont soignés gratuitement dans les centres de sante existants, et les autochtones doivent payer leurs soins, longues files d’attentes au centre de sante car les refugies ont la priorité
- Accès à l’EHA: les refugies disposent de plusieurs forages alors que leurs forages sont soit non fonctionnels soit inexistant ou ne suffisent pas. Ils sont « obligés de payer l’eau dans le forage des anciens refugiés et/ou d’utiliser l’eau des rivières polluées par les défécations des réfugiés ».
- Accès aux produits de base sur les marchés : avec l’arrivée des refugies, les prix des denrées ont augmenté significativement, exemple la tasse de couscous de manioc est passée de 500 à 2000Fcfa),
- Pression sur les ressources en eau et le pâturage par les refugies et leurs animaux. Destruction des champs de cultures par les troupeaux
- Multiplication de cas de vols : sentiment d’insécurité au sein de la population autochtone qui attribue la recrudescence des vols à la présence des refugiés Read More...
- Accès aux soins de santé : les refugies sont soignés gratuitement dans les centres de sante existants, et les autochtones doivent payer leurs soins, longues files d’attentes au centre de sante car les refugies ont la priorité
- Accès à l’EHA: les refugies disposent de plusieurs forages alors que leurs forages sont soit non fonctionnels soit inexistant ou ne suffisent pas. Ils sont « obligés de payer l’eau dans le forage des anciens refugiés et/ou d’utiliser l’eau des rivières polluées par les défécations des réfugiés ».
- Accès aux produits de base sur les marchés : avec l’arrivée des refugies, les prix des denrées ont augmenté significativement, exemple la tasse de couscous de manioc est passée de 500 à 2000Fcfa),
- Pression sur les ressources en eau et le pâturage par les refugies et leurs animaux. Destruction des champs de cultures par les troupeaux
- Multiplication de cas de vols : sentiment d’insécurité au sein de la population autochtone qui attribue la recrudescence des vols à la présence des refugiés Read More...
Évaluation des violences basées sur le genre au sein des refugiés centrafricains et leurs populations hôtes dans les départements de la Kadey et du Mbéré (Régions de l’Est et l’Adamaoua- Cameroun)
Depuis le début de la crise en République Centrafricaine (RCA) en 2013, le Cameroun a enregistré un afflux massif des refugiés centrafricains. En février 2016, ils sont estimés à environ 259 145 réfugiés accueillis dans 7 sites aménagés et les villages des Régions de l’Est, de l’Adamaoua et du Nord. Les régions de L’Est et L’Adamaoua seules abritent 97% des refugiés (voir ci-contre).
Une analyse Genre conduite par CARE en septembre 2014 et l’expérience sur le terrain ont fait ressortir une situation préoccupante en termes de protection notamment pour les femmes et les filles refugiées ainsi qu’une augmentation de l’incidence des cas d’agressions physiques et sexuelles envers les femmes, perpétrées par des membres de la communauté hôte ainsi que par les réfugiés eux- mêmes.
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Une analyse Genre conduite par CARE en septembre 2014 et l’expérience sur le terrain ont fait ressortir une situation préoccupante en termes de protection notamment pour les femmes et les filles refugiées ainsi qu’une augmentation de l’incidence des cas d’agressions physiques et sexuelles envers les femmes, perpétrées par des membres de la communauté hôte ainsi que par les réfugiés eux- mêmes.
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Rapport Narratif Renforcement des Actions de Nutrition- Actions Integrees de Nutrition et Aliemntation (RAN-AINA)
Ce rapport expose les réalisations du projet RAN‐AINA durant le premier semestre de la troisième année de mise en œuvre c’est‐à‐dire de janvier à juin de l’année 2017. Le projet RAN‐AINA était élaboré pour renforcer les actions en Nutrition de AINA, mais ce premier semestre est celui au cours duquel RAN‐AINA s’est retrouvé « seul » sur terrain vu que la mise en œuvre de AINA par CARE s’est arrêtée le 31 décembre 2016. Ce premier semestre mesure ainsi les retombées des actions des deux projets au sein de la population cible des 88 Fokontany d’intervention. En considérant l’évolution du Taux d’insuffisance Pondéral (TIP) sur les premiers semestres des années 2016 et 2017, représentée par le graphique suivant, l’effet de l’adoption des bonnes pratiques nutritionnelles et d’hygiène diffusées se fait ressentir au sein de la communauté. Ce taux a accusé une baisse moyenne de 15 points entre les deux périodes.
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ETUDE DE BASE : Projet Walindé
L’Extrême Nord du Cameroun est confronté depuis plusieurs années à des problématiques structurelles. La vulnérabilité des ménages à l’insécurité alimentaire, au réchauffement climatique ou encore aux épidémies, a été exacerbée par la crise sécuritaire autour du Lac Tchad, ayant causé un déplacement important de population.
Elle est la région la plus pauvre du Cameroun, avec 74% de la population vivant sous le seuil de pauvreté (mois d’1,125€/jour) contre 37,5% au niveau national (INS : 2014). De plus, l’incidence de la pauvreté est plus élevée en milieu rural (66%) qu’en milieu urbain (7%).
L’Extrême Nord dispose d’une faible couverture en services de base, notamment en matière d’eau et d’assainissement. D’après l’UNICEF, le taux d’accès à l’eau potable dans le Nord du Cameroun est de 53% contre 73% dans le Centre du pays (UNICEF : 2017). En 2017, seuls 16% des écoles dans le Mayo Tsanga et 24% dans le Mayo Kani – les deux départements d’intervention – disposent d’un accès à l’eau. Le ratio latrine par élève est compris entre 249 pour le Mayo Kani et 352 pour le Mayo Tsanga, soit 5 à 6 fois plus que les standards fixés par l’UNICEF. Le nombre restreint d’infrastructures adaptées, telles que les latrines sexospécifiques, constitue un frein à la scolarisation des enfants notamment des jeunes filles.1 L’absence d’intimité pour changer ou nettoyer les protections menstruelles, de matériel hygiénique, ainsi que les tabous autour des menstruations poussent de nombreuses filles à quitter l’école lors de leurs règles.
Dans les zones rurales, la présence de dispositifs de lavage de mains (DLM) fonctionnels au sein des écoles reste rare, ce qui limite fortement le lavage des mains des élèves et des enseignants ainsi que la mise en pratique des mesures de prévention contre la COVID-19. Faute de moyens, d’infrastructures et de formations, les enseignements relatifs à l’eau, l’hygiène et l’assainissement ne se traduisent pas systématiquement par le changement des comportements.
Pour répondre à cette situation, le projet de CARE Cameroun envisage de mettre en oeuvre le projet intitulé « aider les autres », ou « Walindé » en langue Fulfuldé, dont l’objectif global est de renforcer l'accès aux services de bases en matière d'eau, d'hygiène et d'assainissement (EHA) et aux services informels d'épargne et de crédit dans la région de l'Extrême Nord du Cameroun. De manière spécifique, cet objectif se traduit à travers l’amélioration la couverture en eau potable et l’accès aux services d'épargne et de crédit pour les femmes et les jeunes dans les communes de Mokolo, Hina, Yagoua, Kaélé.
CARE est intervenu dans les communes de Mokolo et Hina (Mayo Tsanga), Yagoua et Kaélé (Mayo Danay), respectivement dans le cadre des projets RESILIANT (2017-2020), COOPERER I et II (2016-2017 / 2019-2020). La continuité de ces programmes est actuellement assurée par les projets PEREN (Mokolo et Hina) et COOPERER III (Yagoua et Kaélé), qui visent respectivement (1) au renforcement de la résilience des populations vulnérables face aux crises alimentaires, (2) à l’amélioration de l’accès aux services sociaux de bases et aux opportunités économiques. Read More...
Elle est la région la plus pauvre du Cameroun, avec 74% de la population vivant sous le seuil de pauvreté (mois d’1,125€/jour) contre 37,5% au niveau national (INS : 2014). De plus, l’incidence de la pauvreté est plus élevée en milieu rural (66%) qu’en milieu urbain (7%).
L’Extrême Nord dispose d’une faible couverture en services de base, notamment en matière d’eau et d’assainissement. D’après l’UNICEF, le taux d’accès à l’eau potable dans le Nord du Cameroun est de 53% contre 73% dans le Centre du pays (UNICEF : 2017). En 2017, seuls 16% des écoles dans le Mayo Tsanga et 24% dans le Mayo Kani – les deux départements d’intervention – disposent d’un accès à l’eau. Le ratio latrine par élève est compris entre 249 pour le Mayo Kani et 352 pour le Mayo Tsanga, soit 5 à 6 fois plus que les standards fixés par l’UNICEF. Le nombre restreint d’infrastructures adaptées, telles que les latrines sexospécifiques, constitue un frein à la scolarisation des enfants notamment des jeunes filles.1 L’absence d’intimité pour changer ou nettoyer les protections menstruelles, de matériel hygiénique, ainsi que les tabous autour des menstruations poussent de nombreuses filles à quitter l’école lors de leurs règles.
Dans les zones rurales, la présence de dispositifs de lavage de mains (DLM) fonctionnels au sein des écoles reste rare, ce qui limite fortement le lavage des mains des élèves et des enseignants ainsi que la mise en pratique des mesures de prévention contre la COVID-19. Faute de moyens, d’infrastructures et de formations, les enseignements relatifs à l’eau, l’hygiène et l’assainissement ne se traduisent pas systématiquement par le changement des comportements.
Pour répondre à cette situation, le projet de CARE Cameroun envisage de mettre en oeuvre le projet intitulé « aider les autres », ou « Walindé » en langue Fulfuldé, dont l’objectif global est de renforcer l'accès aux services de bases en matière d'eau, d'hygiène et d'assainissement (EHA) et aux services informels d'épargne et de crédit dans la région de l'Extrême Nord du Cameroun. De manière spécifique, cet objectif se traduit à travers l’amélioration la couverture en eau potable et l’accès aux services d'épargne et de crédit pour les femmes et les jeunes dans les communes de Mokolo, Hina, Yagoua, Kaélé.
CARE est intervenu dans les communes de Mokolo et Hina (Mayo Tsanga), Yagoua et Kaélé (Mayo Danay), respectivement dans le cadre des projets RESILIANT (2017-2020), COOPERER I et II (2016-2017 / 2019-2020). La continuité de ces programmes est actuellement assurée par les projets PEREN (Mokolo et Hina) et COOPERER III (Yagoua et Kaélé), qui visent respectivement (1) au renforcement de la résilience des populations vulnérables face aux crises alimentaires, (2) à l’amélioration de l’accès aux services sociaux de bases et aux opportunités économiques. Read More...
ELLA ALIMENTA AL MUNDO – PERÚ-Informe Final de Evaluación
CARE PERÚ, desde abril 2019 a diciembre 2022 implementa el proyecto “Ella Alimenta al Mundo”- EAM (SFtW - She Feeds the World - por sus siglas en inglés), programa lanzado en varios países por la Fundación PepsiCo a través de CARE USA. El propósito del proyecto ha sido reducir la desnutrición crónica y la anemia en niñas y niños menores de 5 años e incrementar los ingresos de 4,000 familias pobres que residen en 4 distritos priorizados, correspondiente a las provincias de Lima, Ica y Sullana con enfoque de género. El grupo objetivo son niñas y niños menores de 5 años y mujeres gestantes. Read More...
She Feeds the World Peru Final Evaluation
From April 2019 to December 2022, CARE PERU implements the project "She Feeds the World" - SFtW (SFtW - She Feeds the World), a program launched by the PepsiCo Foundation through CARE USA in several countries. The purpose of the project has been to reduce chronic malnutrition and anemia in children under 5 years old and increase the income of 4,000 poor families residing in 4 prioritized districts, corresponding to the provinces of Lima, Ica and Sullana with a gender approach. The target group are children under 5 years old and pregnant women.
The project considered as areas of change, to achieve its results, to work on the economic empowerment of women, improvement of nutrition and feeding practices, increase in access and control of productive resources, and increase in access to market opportunities. The project was organized into three components; Promotion of healthy practices and environments for maternal and child care in prioritized districts of the regions of Lima, Ica and Piura, Increased income of 4,000 households (16,000 beneficiaries) in poor communities in prioritized districts of the regions of Lima, Ica and Piura in a sustainable and inclusive manner, and Development of Strategic Alliances and Political Advocacy to improve maternal and child nutrition and local economic development with a gender approach. It should be noted that the project had a goal at the end of the action (December 2022) of directly reaching 54,000 women, men and children and indirectly benefiting 358,450 people, in this case through advocacy and scaling strategies, with a full scope estimated of 412,450 people.
At the end of the implementation, CARE PERÚ entrusts ESTRATEGIA, a consulting company, to conduct the final evaluation assessment of the project "She Feeds the World - Peru", to measure the level of achievement of the planned objectives and implemented strategies; as well as the status of the project indicators. Read More...
The project considered as areas of change, to achieve its results, to work on the economic empowerment of women, improvement of nutrition and feeding practices, increase in access and control of productive resources, and increase in access to market opportunities. The project was organized into three components; Promotion of healthy practices and environments for maternal and child care in prioritized districts of the regions of Lima, Ica and Piura, Increased income of 4,000 households (16,000 beneficiaries) in poor communities in prioritized districts of the regions of Lima, Ica and Piura in a sustainable and inclusive manner, and Development of Strategic Alliances and Political Advocacy to improve maternal and child nutrition and local economic development with a gender approach. It should be noted that the project had a goal at the end of the action (December 2022) of directly reaching 54,000 women, men and children and indirectly benefiting 358,450 people, in this case through advocacy and scaling strategies, with a full scope estimated of 412,450 people.
At the end of the implementation, CARE PERÚ entrusts ESTRATEGIA, a consulting company, to conduct the final evaluation assessment of the project "She Feeds the World - Peru", to measure the level of achievement of the planned objectives and implemented strategies; as well as the status of the project indicators. Read More...
At the last mile: Lessons from Vaccine Distributions in DR Congo
The Democratic Republic of the Congo (DRC) has one of the lowest COVID-19 vaccination rates in the world, with just 0.87% of people in DRC having received even one dose. While the country has received 8.2 million doses of COVID-19 vaccine, it has managed to administer 528,000 of them—just under 11% of vaccines available. In April of 2021, DRC became one of the first countries to return 1.3 million COVID-19 doses to COVAX because they could not deliver them to people before the vaccines expired.
The challenges that risked more than a million doses expiring are still in play for most of the country. In both January and February 2022, 114,705 vaccines expired in country because there was not enough investment in systems and health workers to deliver vaccines. To reach 70% of the population—62.7 million people—DRC will need to drastically scale up and accelerate COVID-19 vaccination.
CARE is working with 4 vaccination sites—2 in Butembo and 2 in Goma—to support with community mobilization in partnership with local leaders, health center operations, and training. With joint action and communication plans developed with chiefs, religious leaders, and local authorities, and additional equipment to protect health workers, those sites had vaccinated 1,132 people. In those 4 sites, we have also conducted several rounds of research and problem-solving using community dialogues between health workers and clients using the Community Scorecard, as well as the Social Analysis and Action tools, which provides the insights for this case study. The team has also supported local vaccination teams with IT infrastructure, personnel costs, and creating locally adapted COVID-19 communications plans.
Version Francaise
La République démocratique du Congo (RDC) possède un des taux de vaccination les plus bas dans le monde avec la lutte contre COVID-19. Seulement 0,87% des personnes en RDC ont reçu même une seule dose du vaccin. Alors que le pays a reçu 8,2 millions de doses de vaccin contre la COVID-19, il n’a réussi qu’à en administrer 881,204, soit un peu moins de 11% des vaccins disponibles administrés. En avril 2021, la RDC est devenue l’un des premiers pays à restituer 1,3 million de doses de COVID-19 à COVAX parce qu’elle ne pouvait pas les administrer aux personnes avant l’expiration des vaccins.
Les défis qui risquaient d’expirer plus d’un million de doses sont toujours en jeu pour la majeure partie du pays. En janvier et février, 114,705 doses ont expiré dans le pays parce qu’il n’y avait pas assez d’investissements dans les systèmes et les agents de santé pour livrer des vaccins. Pour atteindre 70 % de la population, soit 62,7 millions de personnes, la RDC devra considérablement intensifier et accélérer la vaccination contre la COVID-19.
CARE travaille avec 4 sites de vaccination – 2 à Butembo et 2 à Goma – pour soutenir la mobilisation communautaire en partenariat avec les leaders et structures locaux, les opérations des centres de santé et la formation. Ces sites avaient vacciné 1 132 personnes. Dans ces 4 sites, nous avons également mené plusieurs séries de recherches et de résolution de problèmes à travers des dialogues communautaires entre les prestataires des services et les clients avec la Carte Communautaire et l’analyse et l’action sociale, à l’aide de la carte de pointage communautaire, qui fournit les informations nécessaires à cette étude de cas. On a aussi appuyé les missions de supervisions avec l’infrastructure pour la connexion internet, la motivation des prestataires, et l’élaboration des plans de communication adaptes aux contextes.
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The challenges that risked more than a million doses expiring are still in play for most of the country. In both January and February 2022, 114,705 vaccines expired in country because there was not enough investment in systems and health workers to deliver vaccines. To reach 70% of the population—62.7 million people—DRC will need to drastically scale up and accelerate COVID-19 vaccination.
CARE is working with 4 vaccination sites—2 in Butembo and 2 in Goma—to support with community mobilization in partnership with local leaders, health center operations, and training. With joint action and communication plans developed with chiefs, religious leaders, and local authorities, and additional equipment to protect health workers, those sites had vaccinated 1,132 people. In those 4 sites, we have also conducted several rounds of research and problem-solving using community dialogues between health workers and clients using the Community Scorecard, as well as the Social Analysis and Action tools, which provides the insights for this case study. The team has also supported local vaccination teams with IT infrastructure, personnel costs, and creating locally adapted COVID-19 communications plans.
Version Francaise
La République démocratique du Congo (RDC) possède un des taux de vaccination les plus bas dans le monde avec la lutte contre COVID-19. Seulement 0,87% des personnes en RDC ont reçu même une seule dose du vaccin. Alors que le pays a reçu 8,2 millions de doses de vaccin contre la COVID-19, il n’a réussi qu’à en administrer 881,204, soit un peu moins de 11% des vaccins disponibles administrés. En avril 2021, la RDC est devenue l’un des premiers pays à restituer 1,3 million de doses de COVID-19 à COVAX parce qu’elle ne pouvait pas les administrer aux personnes avant l’expiration des vaccins.
Les défis qui risquaient d’expirer plus d’un million de doses sont toujours en jeu pour la majeure partie du pays. En janvier et février, 114,705 doses ont expiré dans le pays parce qu’il n’y avait pas assez d’investissements dans les systèmes et les agents de santé pour livrer des vaccins. Pour atteindre 70 % de la population, soit 62,7 millions de personnes, la RDC devra considérablement intensifier et accélérer la vaccination contre la COVID-19.
CARE travaille avec 4 sites de vaccination – 2 à Butembo et 2 à Goma – pour soutenir la mobilisation communautaire en partenariat avec les leaders et structures locaux, les opérations des centres de santé et la formation. Ces sites avaient vacciné 1 132 personnes. Dans ces 4 sites, nous avons également mené plusieurs séries de recherches et de résolution de problèmes à travers des dialogues communautaires entre les prestataires des services et les clients avec la Carte Communautaire et l’analyse et l’action sociale, à l’aide de la carte de pointage communautaire, qui fournit les informations nécessaires à cette étude de cas. On a aussi appuyé les missions de supervisions avec l’infrastructure pour la connexion internet, la motivation des prestataires, et l’élaboration des plans de communication adaptes aux contextes.
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Estudio sobre la situación de la seguridad alimentaria y las prácticas de alimentación infantil en hogares del ámbito de intervención del proyecto “Ella Alimenta el mundo”
CARE Perú es una Organización No Gubernamental que ha venido trabajando por mas de 50 años en intervenciones comunitarias para mejorar la nutrición y desarrollo en niñas y niños, alrededor de todo el país.
El presente estudio, buscó obtener información de primera mano sobre el estado actual de algunos de los indicadores del componente nutricional del proyecto del proyecto “Ella Alimenta al Mundo”, con la finalidad analizar los posibles efectos que pudieron darse un año después de la Línea de Base y considerando los potenciales factores influyentes en estos indicadores de estudio, en el contexto de la pandemia por COVID-19.
Ante ello, la consultora responsable del estudio diseñó y adaptó un protocolo adecuado con las variables de estudio que pudieran ser medidas de manera online (vía telefónica) como lo han venido haciendo otras intervenciones y estudios en salud pública alrededor del mundo, dado el contexto de la pandemia. La recolección de datos se dio entre los meses de junio y julio del 2021 bajo la modalidad telefónica teniendo en cuenta las restricciones de tránsito y recomendaciones vigentes de los organismos gubernamentales para evitar la propagación de COVID-19 en el país. Se reclutó un equipo de 11 encuestadores con formación de nutrición, quienes fueron designados a tres equipos según ámbito de estudio: i) Piura (Sullana), ii) Ica (San José de los Molinos y Subtanjalla) y iii) –Lima (Pachacámac), quienes aplicaron las encuestas bajo la supervisión de los especialistas y practicantes de cada ámbito, además de la consultora, asegurando la total objetividad y precisión de la información recolectada.
El estudio recolectó información de 569 niños menores de 5 años acerca de sus indicadores sociodemográficos e inseguridad alimentaria, así como también información en prácticas de alimentación infantil en un total de 115 niños menores de 24 meses.
El presente informe final de la evaluación de medio tiempo, resume los resultados de esta información según los indicadores clave y por distritos.
Indicadores Read More...
El presente estudio, buscó obtener información de primera mano sobre el estado actual de algunos de los indicadores del componente nutricional del proyecto del proyecto “Ella Alimenta al Mundo”, con la finalidad analizar los posibles efectos que pudieron darse un año después de la Línea de Base y considerando los potenciales factores influyentes en estos indicadores de estudio, en el contexto de la pandemia por COVID-19.
Ante ello, la consultora responsable del estudio diseñó y adaptó un protocolo adecuado con las variables de estudio que pudieran ser medidas de manera online (vía telefónica) como lo han venido haciendo otras intervenciones y estudios en salud pública alrededor del mundo, dado el contexto de la pandemia. La recolección de datos se dio entre los meses de junio y julio del 2021 bajo la modalidad telefónica teniendo en cuenta las restricciones de tránsito y recomendaciones vigentes de los organismos gubernamentales para evitar la propagación de COVID-19 en el país. Se reclutó un equipo de 11 encuestadores con formación de nutrición, quienes fueron designados a tres equipos según ámbito de estudio: i) Piura (Sullana), ii) Ica (San José de los Molinos y Subtanjalla) y iii) –Lima (Pachacámac), quienes aplicaron las encuestas bajo la supervisión de los especialistas y practicantes de cada ámbito, además de la consultora, asegurando la total objetividad y precisión de la información recolectada.
El estudio recolectó información de 569 niños menores de 5 años acerca de sus indicadores sociodemográficos e inseguridad alimentaria, así como también información en prácticas de alimentación infantil en un total de 115 niños menores de 24 meses.
El presente informe final de la evaluación de medio tiempo, resume los resultados de esta información según los indicadores clave y por distritos.
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