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Gender and food security in Fiji A community-based gender analysis in Macuata Province, Vanua Levu
This report presents the results of a community-based gender and food security analysis that was carried out by ADRA Fiji in partnership with CARE International with funding from the WPHF, administered and supported by UN Women. The main purpose of the gender analysis is to gain a better understanding of the varying gender dynamics and socio-cultural contexts that can positively and negatively impact household and community food security and resilience in the context of climate change and disasters.
The findings and recommendations of the analysis are intended to strengthen the gender equality impacts of ADRA Fiji’s Vakarau Wai 1 Pro-Resilience Project, as well as inform the agency’s other programming. As part of the wider project the intention is also to more broadly share and discuss the findings to strengthen awareness among food security and livelihood stakeholders that localised social and gender context analysis is critical to ensure effective and sustainable food security in Fiji’s ever-changing climate environment and to also ensure food security and livelihoods (FSL) initiatives, foster gender equality and support women’s meaningful participation in decision-making in homes and communities across Fiji.
For this study data was collected and analysed from two communities, an iTaukei village and a settlement largely comprised of Fijians of Indian descent in Macuata Province, Vanua Levu. The aim was to identify gender specific needs, vulnerabilities and capacities, particularly among high risk and marginalised groups, and how these dimensions affect food security and household and community resilience and women’s empowerment. A total of 71 people (35 female and 36 males) ranging in age from 20 – 83 years old contributed their views for this study, including six people with impairments (four with difficulty walking and two with varying levels of visual impairment), as well as four widows and two widowers. Data was collected in relation to four core areas of inquiry namely: access to and control over resources, gender roles and divisions of labour, household decision-making, and participation in public decision-making, using focus group discussions and key informant interviews, along with several transect walks. Read More...
The findings and recommendations of the analysis are intended to strengthen the gender equality impacts of ADRA Fiji’s Vakarau Wai 1 Pro-Resilience Project, as well as inform the agency’s other programming. As part of the wider project the intention is also to more broadly share and discuss the findings to strengthen awareness among food security and livelihood stakeholders that localised social and gender context analysis is critical to ensure effective and sustainable food security in Fiji’s ever-changing climate environment and to also ensure food security and livelihoods (FSL) initiatives, foster gender equality and support women’s meaningful participation in decision-making in homes and communities across Fiji.
For this study data was collected and analysed from two communities, an iTaukei village and a settlement largely comprised of Fijians of Indian descent in Macuata Province, Vanua Levu. The aim was to identify gender specific needs, vulnerabilities and capacities, particularly among high risk and marginalised groups, and how these dimensions affect food security and household and community resilience and women’s empowerment. A total of 71 people (35 female and 36 males) ranging in age from 20 – 83 years old contributed their views for this study, including six people with impairments (four with difficulty walking and two with varying levels of visual impairment), as well as four widows and two widowers. Data was collected in relation to four core areas of inquiry namely: access to and control over resources, gender roles and divisions of labour, household decision-making, and participation in public decision-making, using focus group discussions and key informant interviews, along with several transect walks. Read More...
Rapid Gender Analysis – SNNP Region Ethiopia and Gedeo Crisis Response
As of July 14, conflict between Guji Oromo and Gedeo communities displaced over 1 million people (82 per cent in Gedeo; 19 per cent West Guji zones). Internally displaced people (IDPs) stay in cramped public buildings and spontaneous IDP sites while other live with host communities. This massive and sudden population displacement prompted CARE Ethiopia to expand its emergency programme in the South Nation, Nationalities People Region (SNNPR). Consistent with its focus on gender equality, CARE initiated a rapid gender analysis (RGA) to provide gendered data on needs, power relations, access and controls, risks and coping strategies of displaced women, men, boys and girls affected by the conflict.
An RGA mission led by CARE International Rapid Response Team Gender Specialist took place in Dilla town, Gedeb and Yirgachafe woredas (administrative unit in Ethiopia) between 25 and 31 July. Read More...
An RGA mission led by CARE International Rapid Response Team Gender Specialist took place in Dilla town, Gedeb and Yirgachafe woredas (administrative unit in Ethiopia) between 25 and 31 July. Read More...
EVALUATION FINALE DU PROJET USAID/NUTRITION – WASH DANS LES REGIONS DE KOULIKORO, SEGOU ET MOPTI
La présente étude vise, en effet, à évaluer l'efficacité de la stratégie nutritionnelle intégrée de l'IRP combinant nutrition, agriculture, eau, assainissement et hygiène (WASH) pour améliorer l'état nutritionnel des femmes enceintes et allaitant et des enfants de moins de 2 ans.
Les principaux indicateurs du projet dans le domaine de la nutrition aussi bien chez les enfants de moins de 2 ans que les femmes en âge de procréer (réduction de la prévalence de l’émaciation, du retard de croissance, de l’émaciation, de l’anémie, amélioration du régime alimentaire minimum acceptable pour les enfants de moins de deux ans et du défit énergétique chronique, de l’anémie et amélioration du régime alimentaire minimum acceptable) ont tous favorablement évolués entre la situation de départ et la situation actuelle. Par contre, aucune valeur de l’indicateur initialement prévu n’a été atteinte par le projet. Il en est de même pour les indicateurs WASH. Cependant, la motivation des bénéficiaires pour soutenir le projet et ses acquis ont été observé. Les bénéficiaires se disent favorables à la poursuivre les activités réalisées après le retrait du projet. Il s’avère nécessaire de poursuivre les activités du projet pour lui permettre d’atteinte des objectifs fixés. Read More...
Les principaux indicateurs du projet dans le domaine de la nutrition aussi bien chez les enfants de moins de 2 ans que les femmes en âge de procréer (réduction de la prévalence de l’émaciation, du retard de croissance, de l’émaciation, de l’anémie, amélioration du régime alimentaire minimum acceptable pour les enfants de moins de deux ans et du défit énergétique chronique, de l’anémie et amélioration du régime alimentaire minimum acceptable) ont tous favorablement évolués entre la situation de départ et la situation actuelle. Par contre, aucune valeur de l’indicateur initialement prévu n’a été atteinte par le projet. Il en est de même pour les indicateurs WASH. Cependant, la motivation des bénéficiaires pour soutenir le projet et ses acquis ont été observé. Les bénéficiaires se disent favorables à la poursuivre les activités réalisées après le retrait du projet. Il s’avère nécessaire de poursuivre les activités du projet pour lui permettre d’atteinte des objectifs fixés. Read More...
Rapport d’Evaluation Finale Du Projet Mahafatoky CARE Antalaha
CARE Madagascar a mis en œuvre un projet qui s’intitule MAHAFATOKY dont l’objectif est d’accroître la résilience de 50.000 ménages dans les deux districts côtiers de la Région SAVA. Généralement, les actions tournent autour des renforcements de capacités pour que la population cible, notamment les plus vulnérables, s’adapte à réduire les effets néfastes du changement climatique sur leur sécurité alimentaire. L’objectif du projet Mahafatoky est de renforcer la résilience des 50 000 ménages dans les deux districts côtiers de la Région SAVA à Madagascar, par une plus grande capacité à s’adapter aux effets du changement sur leur sécurité alimentaire et à réduire ces effets. Le projet comprend trois volets essentiels et complémentaires : i) La Gestion des risques et des catastrophes, ii) La sécurité alimentaire et iii) Le groupe d’épargne villageois. Ces trois volets se répartissent en sept (7) résultats attendus (RA) dont les analyses des valeurs actuelles de chaque indicateur sont développées dans ce rapport. Au terme du projet, les bénéficiaires finaux du projet sont de 73 032 ménages soit 365.160 personnes qui représentent 146% de l’objectif fixé. Read More...
MAHAFATOKY project final evaluation
CARE Madagascar a mis en œuvre un projet qui s’intitule MAHAFATOKY dont l’objectif est d’accroître la résilience de 50.000 ménages dans les deux districts côtiers de la Région SAVA. Généralement, les actions tournent autour des renforcements de capacités pour que la population cible, notamment les plus vulnérables, s’adapte à réduire les effets néfastes du changement climatique sur leur sécurité alimentaire. L’objectif du projet Mahafatoky est de renforcer la résilience des 50000 ménages dans les deux districts côtiers de la Région SAVA à Madagascar, par une plus grande capacité à s’adapter aux effets du changement sur leur sécurité alimentaire et à réduire ces effets. Le projet comprend trois volets essentiels et complémentaires: i) La Gestion des risques et des catastrophes, ii) La sécurité alimentaire et iii) Le groupe d’épargne villageois. Ces trois volets se répartissent en sept (7) résultats attendus (RA) dont les analyses des valeurs actuelles de chaque indicateur sont développées dans ce rapport. Au terme du projet, les bénéficiaires finaux du projet sont de 73 032 ménages soit 365.160 Personnes qui représentent 146% de l’objectif fixé. (118 pages) Read More...
FANAMBY project
64 page final evaluation. Financé par LYRECO for Education et opérationnalisé par CARE International à Madagascar, le Projet Fanamby s’inscrit dans l’atteinte des Objectifs du Développement Durable (ODD) et du Plan National pour le Développement (PND) dans le cadre desquels le Ministère de l’Education Nationale à Madagascar a initié son Plan Sectoriel de l’Education (PSE) qui vise à mettre en place une éducation de base de qualité, accessible pour tous.
Son budget total s’élève à 1000 000 Euro pour une durée de 48 mois. Le projet a pour objectif principal d’améliorer l'accès à l'éducation primaire de qualité pour au moins 17 000 enfants âgés de 5 et de 15 ans dans 47 écoles primaires publics du district de Vatomandry, dans la région Atsinanana de Madagascar (côte Est), avec une attention particulière à l'éducation des filles, suite au passage du cyclone Giovanna en Février 2012.
L'objectif de la présente évaluation finale est d’analyser et d'apprécier l'atteinte des résultats au vu des objectifs fixés par le projet, les dynamiques de changement au niveau des bénéficiaires cibles ainsi que la viabilité des activités qui ont été développées après quatre années d'intervention.
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Son budget total s’élève à 1000 000 Euro pour une durée de 48 mois. Le projet a pour objectif principal d’améliorer l'accès à l'éducation primaire de qualité pour au moins 17 000 enfants âgés de 5 et de 15 ans dans 47 écoles primaires publics du district de Vatomandry, dans la région Atsinanana de Madagascar (côte Est), avec une attention particulière à l'éducation des filles, suite au passage du cyclone Giovanna en Février 2012.
L'objectif de la présente évaluation finale est d’analyser et d'apprécier l'atteinte des résultats au vu des objectifs fixés par le projet, les dynamiques de changement au niveau des bénéficiaires cibles ainsi que la viabilité des activités qui ont été développées après quatre années d'intervention.
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EVALUATION FINALE: Projet d’accès à des services de protection pour les populations déplacées par le conflit du Nord-Ouest et du Sud-Ouest du Cameroun et des populations hôtes à l’Ouest du Cameroun (PASEPRO)
Le Projet d’Accès à des Services de Protection pour les populations déplacées par le conflit du nord-ouest et du sud-ouest du Cameroun et des populations hôtes à l’Ouest du Cameroun (PASEPRO) a été mis en oeuvre par un partenariat noué entre CARE Cameroun, récipiendaire principal et Horizons Femmes, pour une période de15 mois qui s’étend du 15/10/2022 au 30/03/2024 dans les départements de la Mifi et de la Menoua. L’objectif général de ce projet était d’améliorer l’accès à des services essentiels de protection pour les populations les plus vulnérables affectées (populations déplacées et hôtes) par les conflits des régions du Nord-ouest et Sud-ouest au Cameroun, dans les zones avoisinantes (Ouest), grâce à une réponse humanitaire coordonnée.
Deux résultats spécifiques étaient attendus de ce projet : (i) au moins 8935 personnes déplacées internes ainsi que les populations vulnérables de la communauté d'accueil exposées ou affectées par les VBG sont sensibilisées et bénéficient d’une prise en charge intégrée de qualité ; (ii) les acteurs humanitaires et locaux se coordonnent pour améliorer la qualité des services VBG dans le respect des principes humanitaires et do no harm.
Rendus à la fin du projet, il s’est avéré pertinent de conduire une évaluation externe. Il s’agissait de fournir une appréciation de la performance du projet en faisant le bilan des actions / réalisations y relatives ; ce, afin de mesurer et d’apprécier le niveau d’atteinte des objectifs et résultats de l’action, tels que fixés dans le cadre logique.
Après production et validation de la note méthodologique, la collecte des données s’est déroulée du 23 au 29 janvier 2024 dans les districts de santé de Santchou et de la Mifi. La méthodologie de l’étude était participative et alignée sur les standards de protection, la sauvegarde des enfants et des jeunes. Au total, pour cette évaluation 527 personnes ont été consultées (278 femmes et 249 hommes) dont 412 lors des enquêtes individuelles par questionnaires.
Il est constaté que le projet a pu fournir une aide humanitaire de manière sûre, accessible, responsable et participative comme l’affirment 74,03% des répondants (80,37% des hôtes et 69,88% des PDIs) soit 61,92% dans le district de la Mifi et 94,74% à Santchou. L’ensemble des personnes identifiées comme victimes de VBG dans les districts cibles ont obtenu au moins un service de prise en charge appropriée. Le projet a réussi ainsi à porter à la hausse, la majorité de valeurs prévues, aussi bien au niveau des indicateurs des objectifs et résultats qu’au niveau des indicateurs des activités.
En effet, 77,78% des indicateurs ont été atteints, 8,89% n’ont pas atteint la cible prévue (obtention des actes de naissance1, etc.) et 13,33% n’ont pas été mesurés ni documentés en raison de la non disponibilité des SOV (Sources Objectivement Vérifiables).On note également que 42,22% des indicateurs ont été réalisés à plus de 100% sur les activités suivantes : la formation des femmes vulnérables sur les premiers secours psychologiques en communauté ; les soutiens d’ordre juridique, psychosocial et médical ; les consultations de psychologue individuelle ; le référencement par les mécanismes communautaires de protection ; et, les causeries éducatives et groupes de paroles. Read More...
Deux résultats spécifiques étaient attendus de ce projet : (i) au moins 8935 personnes déplacées internes ainsi que les populations vulnérables de la communauté d'accueil exposées ou affectées par les VBG sont sensibilisées et bénéficient d’une prise en charge intégrée de qualité ; (ii) les acteurs humanitaires et locaux se coordonnent pour améliorer la qualité des services VBG dans le respect des principes humanitaires et do no harm.
Rendus à la fin du projet, il s’est avéré pertinent de conduire une évaluation externe. Il s’agissait de fournir une appréciation de la performance du projet en faisant le bilan des actions / réalisations y relatives ; ce, afin de mesurer et d’apprécier le niveau d’atteinte des objectifs et résultats de l’action, tels que fixés dans le cadre logique.
Après production et validation de la note méthodologique, la collecte des données s’est déroulée du 23 au 29 janvier 2024 dans les districts de santé de Santchou et de la Mifi. La méthodologie de l’étude était participative et alignée sur les standards de protection, la sauvegarde des enfants et des jeunes. Au total, pour cette évaluation 527 personnes ont été consultées (278 femmes et 249 hommes) dont 412 lors des enquêtes individuelles par questionnaires.
Il est constaté que le projet a pu fournir une aide humanitaire de manière sûre, accessible, responsable et participative comme l’affirment 74,03% des répondants (80,37% des hôtes et 69,88% des PDIs) soit 61,92% dans le district de la Mifi et 94,74% à Santchou. L’ensemble des personnes identifiées comme victimes de VBG dans les districts cibles ont obtenu au moins un service de prise en charge appropriée. Le projet a réussi ainsi à porter à la hausse, la majorité de valeurs prévues, aussi bien au niveau des indicateurs des objectifs et résultats qu’au niveau des indicateurs des activités.
En effet, 77,78% des indicateurs ont été atteints, 8,89% n’ont pas atteint la cible prévue (obtention des actes de naissance1, etc.) et 13,33% n’ont pas été mesurés ni documentés en raison de la non disponibilité des SOV (Sources Objectivement Vérifiables).On note également que 42,22% des indicateurs ont été réalisés à plus de 100% sur les activités suivantes : la formation des femmes vulnérables sur les premiers secours psychologiques en communauté ; les soutiens d’ordre juridique, psychosocial et médical ; les consultations de psychologue individuelle ; le référencement par les mécanismes communautaires de protection ; et, les causeries éducatives et groupes de paroles. Read More...
ETUDE DE BASE : Projet Walindé
L’Extrême Nord du Cameroun est confronté depuis plusieurs années à des problématiques structurelles. La vulnérabilité des ménages à l’insécurité alimentaire, au réchauffement climatique ou encore aux épidémies, a été exacerbée par la crise sécuritaire autour du Lac Tchad, ayant causé un déplacement important de population.
Elle est la région la plus pauvre du Cameroun, avec 74% de la population vivant sous le seuil de pauvreté (mois d’1,125€/jour) contre 37,5% au niveau national (INS : 2014). De plus, l’incidence de la pauvreté est plus élevée en milieu rural (66%) qu’en milieu urbain (7%).
L’Extrême Nord dispose d’une faible couverture en services de base, notamment en matière d’eau et d’assainissement. D’après l’UNICEF, le taux d’accès à l’eau potable dans le Nord du Cameroun est de 53% contre 73% dans le Centre du pays (UNICEF : 2017). En 2017, seuls 16% des écoles dans le Mayo Tsanga et 24% dans le Mayo Kani – les deux départements d’intervention – disposent d’un accès à l’eau. Le ratio latrine par élève est compris entre 249 pour le Mayo Kani et 352 pour le Mayo Tsanga, soit 5 à 6 fois plus que les standards fixés par l’UNICEF. Le nombre restreint d’infrastructures adaptées, telles que les latrines sexospécifiques, constitue un frein à la scolarisation des enfants notamment des jeunes filles.1 L’absence d’intimité pour changer ou nettoyer les protections menstruelles, de matériel hygiénique, ainsi que les tabous autour des menstruations poussent de nombreuses filles à quitter l’école lors de leurs règles.
Dans les zones rurales, la présence de dispositifs de lavage de mains (DLM) fonctionnels au sein des écoles reste rare, ce qui limite fortement le lavage des mains des élèves et des enseignants ainsi que la mise en pratique des mesures de prévention contre la COVID-19. Faute de moyens, d’infrastructures et de formations, les enseignements relatifs à l’eau, l’hygiène et l’assainissement ne se traduisent pas systématiquement par le changement des comportements.
Pour répondre à cette situation, le projet de CARE Cameroun envisage de mettre en oeuvre le projet intitulé « aider les autres », ou « Walindé » en langue Fulfuldé, dont l’objectif global est de renforcer l'accès aux services de bases en matière d'eau, d'hygiène et d'assainissement (EHA) et aux services informels d'épargne et de crédit dans la région de l'Extrême Nord du Cameroun. De manière spécifique, cet objectif se traduit à travers l’amélioration la couverture en eau potable et l’accès aux services d'épargne et de crédit pour les femmes et les jeunes dans les communes de Mokolo, Hina, Yagoua, Kaélé.
CARE est intervenu dans les communes de Mokolo et Hina (Mayo Tsanga), Yagoua et Kaélé (Mayo Danay), respectivement dans le cadre des projets RESILIANT (2017-2020), COOPERER I et II (2016-2017 / 2019-2020). La continuité de ces programmes est actuellement assurée par les projets PEREN (Mokolo et Hina) et COOPERER III (Yagoua et Kaélé), qui visent respectivement (1) au renforcement de la résilience des populations vulnérables face aux crises alimentaires, (2) à l’amélioration de l’accès aux services sociaux de bases et aux opportunités économiques. Read More...
Elle est la région la plus pauvre du Cameroun, avec 74% de la population vivant sous le seuil de pauvreté (mois d’1,125€/jour) contre 37,5% au niveau national (INS : 2014). De plus, l’incidence de la pauvreté est plus élevée en milieu rural (66%) qu’en milieu urbain (7%).
L’Extrême Nord dispose d’une faible couverture en services de base, notamment en matière d’eau et d’assainissement. D’après l’UNICEF, le taux d’accès à l’eau potable dans le Nord du Cameroun est de 53% contre 73% dans le Centre du pays (UNICEF : 2017). En 2017, seuls 16% des écoles dans le Mayo Tsanga et 24% dans le Mayo Kani – les deux départements d’intervention – disposent d’un accès à l’eau. Le ratio latrine par élève est compris entre 249 pour le Mayo Kani et 352 pour le Mayo Tsanga, soit 5 à 6 fois plus que les standards fixés par l’UNICEF. Le nombre restreint d’infrastructures adaptées, telles que les latrines sexospécifiques, constitue un frein à la scolarisation des enfants notamment des jeunes filles.1 L’absence d’intimité pour changer ou nettoyer les protections menstruelles, de matériel hygiénique, ainsi que les tabous autour des menstruations poussent de nombreuses filles à quitter l’école lors de leurs règles.
Dans les zones rurales, la présence de dispositifs de lavage de mains (DLM) fonctionnels au sein des écoles reste rare, ce qui limite fortement le lavage des mains des élèves et des enseignants ainsi que la mise en pratique des mesures de prévention contre la COVID-19. Faute de moyens, d’infrastructures et de formations, les enseignements relatifs à l’eau, l’hygiène et l’assainissement ne se traduisent pas systématiquement par le changement des comportements.
Pour répondre à cette situation, le projet de CARE Cameroun envisage de mettre en oeuvre le projet intitulé « aider les autres », ou « Walindé » en langue Fulfuldé, dont l’objectif global est de renforcer l'accès aux services de bases en matière d'eau, d'hygiène et d'assainissement (EHA) et aux services informels d'épargne et de crédit dans la région de l'Extrême Nord du Cameroun. De manière spécifique, cet objectif se traduit à travers l’amélioration la couverture en eau potable et l’accès aux services d'épargne et de crédit pour les femmes et les jeunes dans les communes de Mokolo, Hina, Yagoua, Kaélé.
CARE est intervenu dans les communes de Mokolo et Hina (Mayo Tsanga), Yagoua et Kaélé (Mayo Danay), respectivement dans le cadre des projets RESILIANT (2017-2020), COOPERER I et II (2016-2017 / 2019-2020). La continuité de ces programmes est actuellement assurée par les projets PEREN (Mokolo et Hina) et COOPERER III (Yagoua et Kaélé), qui visent respectivement (1) au renforcement de la résilience des populations vulnérables face aux crises alimentaires, (2) à l’amélioration de l’accès aux services sociaux de bases et aux opportunités économiques. Read More...
Rapid Gender Analysis Tropical Cyclone Winston
strongest storm ever recorded in the Southern Hemisphere. The damage caused by the TC Winston was extensive and has affected 167 of Fiji’s 300+ islands. Forty-three people lost their lives as a result of the cyclone. The Fiji Government estimates that 350,000 people—40% of the total population—have been affected by the cyclone. Of those affected, 120,000 are children under 18 years and 36,000 of these children are under 5 years of age.1 UNFPA estimates that 5,600 women in the affected areas are pregnant and 600 babies will be born per month in these areas over the next year.2 The total damages caused by Tropical Cyclone Winston are estimated to be US$460 million across a range of key sectors.
Women, men, boys and girls, and minority groups, will experience differing immediate and longer term impacts from Tropical Cyclone Winston. This Rapid Gender Analysis is intended to ensure these differing needs and priorities are taken into account in order to deliver an effective response that meets everyone’s needs. The analysis begins with an outline of gender equality and women’s empowerment in Fiji based principally on secondary data. This is followed by some of the potential gender-differentiated impacts in key sectors where Live and Learn and CARE will be working, along with initial recommendations to ensure Live and Learn and CARE implement a gender-responsive response to TC Winston. Response and recovery efforts will be considerably enriched as more data from affected areas becomes available and a detailed social and gender analysis is undertaken of the impacted areas and beneficiary communities Read More...
Women, men, boys and girls, and minority groups, will experience differing immediate and longer term impacts from Tropical Cyclone Winston. This Rapid Gender Analysis is intended to ensure these differing needs and priorities are taken into account in order to deliver an effective response that meets everyone’s needs. The analysis begins with an outline of gender equality and women’s empowerment in Fiji based principally on secondary data. This is followed by some of the potential gender-differentiated impacts in key sectors where Live and Learn and CARE will be working, along with initial recommendations to ensure Live and Learn and CARE implement a gender-responsive response to TC Winston. Response and recovery efforts will be considerably enriched as more data from affected areas becomes available and a detailed social and gender analysis is undertaken of the impacted areas and beneficiary communities Read More...
Fiji Gender, Disability & Inclusion Snapshot COVID-19, TC Yasa and TC Ana
Fiji is facing unprecedented challenges as a result of the compounded effects of COVID-19, Tropical Cyclone (TC) Yasa and TC Ana. TC Yasa was a category five cyclone with winds up to 345 kilometers per hour which made landfall over Fiji’s second largest island, Vanua Levu on 17 December 2020. TC Yasa was not the only major cyclone in 2020 as TC Harold had hit Viti Levu and the islands to the east as a Category Four cyclone on 8 April 2020. In the midst of response and recovery efforts for these cyclones, coupled with the impact of the COVID-19 pandemic, Fiji was hit again by another tropical cyclone, TC Ana, on 31 January 2021. Read More...