Displaced Populations

The Impact of Integrating Cash Assistance into Gender-Based Violence Response in Northwest Syria

Traditionally, refugees and internally displaced persons (IDPs) have received aid in the form of in-kind assistance. Increasingly, however, cash and voucher assistance (CVA) is being used in humanitarian response to meet the diverse needs of those displaced by crisis and conflict. Preliminary findings by the Women’s Refugee Commission (WRC) indicate that CVA supports gender-based violence (GBV) prevention and response activities, yet humanitarian GBV programming does not comprehensively or consistently consider using CVA. This is a critical gap, as a refugee, internally displaced, and migrant women and girls face multiple risks and incidents of GBV before, during, and after crises. Read More...

Integrated Cash and Gender-Based Violence Programming for IPV Survivors in Guayaquil, Ecuador

Migrant and refugee women and girls are vulnerable to a range of risks before, during, and after humanitarian crises. Intimate partner violence (IPV), a type of gender-based violence (GBV), is among the many protection-specific risks
they face. Traditionally, refugees and internally displaced persons have received aid in the form of in-kind assistance, such as food and blankets. Increasingly, cash and voucher assistance (CVA) is being used in humanitarian response to meet the diverse needs of those displaced by crisis and conflict, enhancing recipients’ autonomy over what they use the funds for. Read More...

An Operational Learning Brief on Integrating Cash Assistance into Gender-Based Violence Programming in Ocaña, Colombia

With the deterioration of the economic and political situation in Venezuela, a humanitarian crisis has spilled into 16 countries across Latin America and the Caribbean, including Colombia. Colombia hosts 2.4 million Venezuelans as at
2021. Internal displacement and confinement escalated in 2019, due to a variety of armed non-state actors competing for income from narcotrafficking, human trafficking, and illegal mining.2 Despite being increasingly overshadowed by the Venezuelan migration crisis, the preexisting internal conflict in Colombia has ensured that the country has the second-largest number of internally displaced persons in the world (after Afghanistan), with an estimated 9.2 million people experiencing protracted displacement. Read More...

Évaluation Multisectorielle Conjointe Des Besoins Des Populations Hotes, Deplacees Et Retournees Dans La Region Du LAC

La région du Lac, l’une des plus vulnérables du Tchad, fait face depuis le début de l’année 2015 à un déplacement massif des populations réfugiées, retournées et déplacées internes. En fin d’août 2015, les chiffres croisés de OCHA1 et HCR donnent à 84 898 le nombre des hommes et femmes déplacées dans la région. A ce chiffre s’ajoutent quelques 14 000 personnes déplacées internes installées en septembre autour de Ngouboua. Le caractère dynamique des déplacements et le problème d’accès à certaines zones rend difficile la maitrise du nombre des déplacés qui selon la CNARR atteindrait 127 000 personnes.

Les personnes déplacées ont fui les enlèvements, les assassinats odieux, les abus sexuels et autres pratiques esclavagistes perpétrées par les membres de la secte Boko Haram sur les hommes, les femmes, les filles et les garçons dans le Nord Nigeria et les villages tchadiens qui leurs sont frontaliers.

Les réfugiés sont accueillis au niveau du camp de Dar Es Salam alors que les retournés et les déplacés internes sont répartis dans quelques 19 sites d’accueil et communautés hôtes dans les zones de Bol et Bagasola. Cette dernière accueille presque 40% de son effectif sans aucune préparation ni mesures d’accompagnement, ce qui entraine une pression importante sur les ressources et services déjà insuffisants de la zone.

Les acteurs humanitaires dont les agences membres du système des Nations Unies, quelques ONG internationales et des ONG locales apportent l’assistance aux hommes et femmes déplacés mais leur capacité reste limitée en raison de problème d’accessibilité lié à la sécurité et de l’afflux régulier des populations déplacées depuis juillet 2015.
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Analyse Rapide Genre au sein des réfugiés de la RCA et les communautés hôtes à Timangolo, Lolo, Mbilé. Département de la Kadey- Est Cameroun

Depuis décembre 2013, environ 128550 réfugiés sont arrivés au Cameroun repartis entre la région de l’Est (95075), l’Adamaoua (23060), le Nord (3540) et Yaounde (3540). Dans le Département de la Kadey, à l’Est, la majorité de réfugiés vivent dans des villages d’accueil et les autres dans plusieurs sites dont ceux de Lolo, Mbilé et Timangolo qui accueillent 26124 réfugiés répartis dans 7403 ménages.

Ces nouveaux réfugiés M’bororos, viennent ajouter à des anciens refugiés centrafricains de la même ethnie accueillis et installés dans la zone depuis 2005.

En mai 2014 CARE a conduit des évaluations des besoins qui ont permis de développer une stratégie de réponseaxée dans le domaine de l’eau, l’hygiène et l’assainissement (EHA), la santé mentale et l’appui psychosocial (SMPS), la sécurité alimentaire avec comme cible principale les réfugiés et leurs populations hôtes le long de l’axe Bertoua-Kentzou and Batouri-Toktoyo.
Actuellement CARE met en œuvre des interventions sur l’EHA sur le site de Timangolo et la SMPS dans les sites de Lolo et Mbile.
Afin de mieux répondre aux besoins spécifiques des réfugiés, hommes, femmes, garçons et filles, CARE organise une analyse genre dont l’objectif est d’appréhender les besoins, les vulnérabilités et les capacités spécifiques aux hommes, aux femmes, aux garçons et aux filles ainsi que les relations, les normes et pratiques genre au sein des réfugiés dans les sites de Timangolo, Lolo, Mbile et leurs communautés hôtes. Read More...

Geo932 evaluation report – confidence in recovery – pci

This 32 page document highlights the findings of Confidence in Recovery project reports for Armenia ... Read More...

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